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OEIL-OCEAN
Remous d’infinis
Rose s’endort
Lune se noie
Terre, âme écartelée
Dérivent paysages
Cibles de chair
Fétu de lune
Braise de rose
Suzâme
En pensant au Japon, poème écrit directement en texto et adressé au n° du Printemps des Poètes à Lyon.
« De l'être à l'invisible nuage: petit dialogue"Lettre du 18/01/1915" sur le métier de poète (extr.) de G. Apollinaire »
Tags : rose, lune, ecartelee, ame, derivent
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Commentaires
Le coeur ouvert, et chantant
Voyage sur les vestiges du Temps
Des couleurs et des noirceurs
Illuminent mon regard ébahi
Tu m'accompagne et me prie
Je te prends en moi entier
Je te porte au-delà de la nuit
Mes pensées t'entourent d'attentions
Pendant qu'eux admirent leur oeuvre.La matière révèle sa vie,
Sa force, son indomptabilité.
La matière nature emporte l'homme
La matière, jouet de l'apprenti sorcier, dévaste l'homme
Qui, pourtant, n'apprend pas l'humilité.
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Bonjour Suzâme,
Terre et mer en furie, ont jeté leurs armes,
Pauvres hommes éperdus sous leurs assauts,
tremblent dans l'attente.
Terre éclatée d'innombrables décombres.
Pleure
Très bel hommage, Suzâme
Ne reste que l'espoir, encore et toujours
Amitiés
Olga