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Par Suzâme dans Autres écrits le 2 Juin 2011 à 15:47...Ses bras sont maternels. Les voici qui frôlent ses joues, ses tempes grisonnantes. Nul ne sait qu’ils habitent son cœur en l’absence de l’amour. C’est ainsi qu'elle les prend dans sa vie. Au-delà des saisons, ces trois petites choses, ces trois petits chats qu’elle ne voit pas...